Quand il est apparu devant moi, je n’arrivais pas à y croire. Cthulhu existe. Le voir devrait me rendre folle et je pense avoir atteint la folie, car j’ôte mon uniforme marin devant lui. Pas celui de Sailor Mercury. Celui de mon université.
Je suis nue devant lui. Cthulhu pose ses mains griffues sur mes seins. Il joue avec eux. Il pince et il tire mes mamelons. Je gémis. Son gros pénis s’approche de mon vagin. Il frotte mon entrée. Je me sens devenir mouillé de l’intérieur.
Cthulhu me viole. C’est une évidence. Pourtant je le veux. Je veux qu’il entre sa bite en moi. Je veux jouir pour lui. Je crie « oui! » quand il enfonce sa queue profondément dans ma chatte. Cthulhu pousse sa bite, encore et encore, jusqu’à ce que je jouisse et qu’il répand ses graines. Je suis en orgasme, en extase.
Quand Cthulhu retire son pénis, je le supplie de le remettre dans mon trou. À la place, il utilise ses tentacules pour pénétrer tous mes trous. Un tentacule est dans ma bouche, un dans mon derrière et un dans mon vagin. Je pleure de joie. Mon corps se tortille de plaisir. Les mains de Cthulhu jouent toujours avec mes seins.
Je lui appartiens. Je suis heureuse. Soudain, Cthulhu me parle par télépathie. Il me dit qu’il va posséder le corps de mes amies et il veut que je le regarde faire. Ses désirs seront exaucés.